Valériane Dujardin-Lascaux, juriste à l’EPSM des Flandres (Bailleul) a publié le site de la Revue Santé Mentale un article en accès libre sur le thème « Directives anticipées en psychiatrie : une dénomination inappropriée… ».
Extrait : « En psychiatrie, différentes mesures d’anticipation ont vu le jour ces dernières années, permettant aux personnes d’exprimer leurs préférences pour leur accompagnement futur en cas de crise. Cependant, sur le plan juridique, les termes de « Directives anticipées » restent inappropriés.
Les directives anticipées (DA) ont été définies par la loi du 22 avril 2005 relative à la fin de vie (Loi Léonetti). En droit français, cette dénomination désigne un document écrit, signé, rédigé par une personne (majeure et capable) et exprimant « la volonté de la personne relative à sa fin de vie en ce qui concerne les conditions de la poursuite, de la limitation, de l’arrêt ou du refus de traitement ou d’acte médicaux ». Elles constituent ainsi le testament de fin de vie d’une personne. »
Consultez l’article au complet sur le site de la revue Santé Mentale.