Pascal Garel est depuis 2005 Directeur général de HOPE, la Fédération Européenne des Hôpitaux. Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et de l’Université de Rennes (Droit
Communautaire), Directeur d’hôpital formé à l’Ecole de Hautes Etudes en Santé Publique de Rennes, son parcours professionnel comprend le Centre Hospitalier Universitaire de Nantes puis de Rouen. Créateur du Pôle Europe et International de la Fédération Hospitalière de France, il a été en charge pendant deux ans des relations avec les pays d’Europe centrale et orientale au Ministère en charge des affaires sociales et de la santé, et a assuré de nombreuses missions de conseil dans ces pays, et au-delà. Il enseigne l’Europe sociale à l’université Paris Dauphine et intervient à l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique et à SciencesPo.
Quelles sont vos motivations pour participer au Congrès international de l’AdESM des 21, 22 et 23 novembre 2018 ?
La Fédération européenne des hôpitaux et des soins de santé a souhaité s’associer à la rencontre organisée par l’AdESM pour soutenir sa volonté d’ouvrir ses portes à d’autres modèles d’organisation de psychiatrie et de santé mentale.
Pourquoi recommanderiez‐vous de participer à ce congrès ?
En dehors des sociétés savantes, les lieux de discussion et de débat européen autour de la santé mentale dans une perspective multidisciplinaire sont assez limités. Les professionnels de santé pourront trouver à Marseille un véritable lieu de réflexion et de débat.