Intervention le 22 novembre de 15h15 à 15h45
« Le numérique : simple outil ou véritable levier du changement pour les usagers et les professionnels ? »
Psychiatre, PHC, EPSM Lille Métropole, CHU Lille
Directrice adjointe du Centre Collaborateur de l’OMS pour la recherche et la formation en santé mentale (Lille – France)
ECEVE Inserm UMR 1123
Master Santé Publique en Ingénierie des Formations de Santé (Paris 13, LEPS EA 3412)
Formatrice au Centre de Simulation en santé PRESAGE, Université de Lille
Vice-Présidente de l’Association des Jeunes Psychiatres et Jeunes Addictologues – AJPJA (depuis 2016)
Ancienne Présidente de l’Association Française Fédérative des Etudiants de psychiatrie – AFFEP (2012-2014)
Quelles sont vos motivations pour participer au Congrès international de l’AdESM des 21, 22 et 23 novembre 2018 ?
La richesse du programme proposant une approche internationale et transdisciplinaire des questionnements relatifs à l’évolution de la psychiatrie et de la santé mentale en France et à l’international. Les témoignages et interventions de nos collègues européens et internationaux.
Pourquoi recommanderiez‐vous de participer à ce congrès ?
L’intérêt tout particulier pour les interventions et les regards croisés de l’ensemble des parties prenantes et acteurs du soin ((ex)-usagers, proches, aidants, soignants, chercheurs, administratifs..).
Le Congrès représente une grande opportunité de rencontres, de partages et d’échanges pour comprendre les enjeux de chacun et envisager des perspectives d’actions communes en faveur d’un changement constructif et efficient de la psychiatrie et et de la santé mentale en France.
Si vous intervenez lors de cette manifestation, pouvez‐vous présenter le contenu de votre intervention ?
Le CCOMS est impliqué dans le projet européen eMEN relatif au développement et à l’évaluation des dispositifs de e-santé mentale en Europe du Nord-Ouest. Dans ce contexte, le Centre a mené, avec le soutien de le Direction générale de la santé (DGS), une étude relative à l’identification des représentations, des attentes et des usages des technologies de e-santé mentale par chacune des parties prenantes : patients-usagers et leurs proches, représentants d’usagers, grand public, professionnels de la santé (médecins généralistes, psychiatres, psychologues, ergothérapeutes, infirmiers, travailleurs sociaux). Cette intervention s’attachera à la présentation des résultats des volets qualitatifs et quantitatifs de cette recherche.